Pendant que les filles passaient du temps avec leur mère, la reine alla accueillir le royaume d'Han-Eltras.
— Bonjour Juliâne, soit le bienvenu.
— Bonjour Arianwen, merci de votre accueil.
— Arthur n'est pas avec toi ?
— Non, il n'a pas pu venir, il est gravement malade.
— Gravement malade ?
— Ne le dites pas à Anne avant le conseil, la connaissant elle risquerait de partir sur-le-champ.
— Oui, tu à raison. Alors, c'est toi qui vas représenter le royaume d'Han-Eltras.
— Oui Arianwen, en tant qu'héritier je vais faire face à mon premier conseil, prendre mes premières responsabilités.
— Si le roi t'a choisi en tant qu'héritier, c'est qu'il a une grande confiance en toi.
— Et j'en suis très fier. Bien que je suis seulement qu'un fils de soldat de haut rang et c'est un honneur pour moi qu'il m'ait accordé une telle grâce. Et pour revenir au roi, nous ignorons la cause de sa maladie, toutefois Luciâne veille sur lui, lui donnant des potions. J'espère qu'il va guérir, je me fais du souci pour lui.
— Je l'espère aussi. En tout cas tu as bien fait de venir, et je te remercie d'avoir pris l'initiative et avoir eu le courage de venir.
— Ça me flatte, dit-il gêné. Sinon où est-ce que nous nous posons mes soldats et moi.
— Ah oui, suivez-moi, je vais vous indiquer dans quel coin de la demeure où vous aller séjourner.
Pour mettre vos chevaux, c'est dans les écuries là-bas. Et pour dormir..., elle eut un moment de réflexion.
— Ne t'inquiète pas pour nous, nous avons prévu nos tentes, et je dormirais avec mes soldats. Je veux juste un emplacement pour nous poser.
— Dans le champ auprès des autres, cela ne vous dérange pas.
— Ca nous conviendra très bien, merci Arianwen.
— Dans ce cas je vous laisse alors, je vous dis à ce soir, le repas est à la nuit tombé.
— D'accord, nous allons nous installer, et merci.
La reine quitta Juliâne, et retourna voir Aurore.
— Alors comment ça se passe la journée Aurore ?
— Très bien, comme tu as pu le constater autour de toi tout le monde est content de se revoir.
— Comment va Félicia ?
— En bien ma foi, elle va très bien, elle s'est remis de ses blessures, elle est m'a annoncé qu'elle m'assistera pour le conseil.
— C'est plutôt une bonne nouvelle que m'apporte là.
— Oui, et en ce moment même elle prépare le sujet.
— C'est formidable.
— Qu'est-ce qu'il y a ? dit-elle en voyant la reine distraite.
— J'entends un bruit de très loin, comme si ça provenait du ciel.
— Quel genre de bruit ?
— Un bruit qui faisait comme ci que le vent était fouetté. Et c'est bizarre que le vent se lève à cette heure-ci, il se passe quelques choses de pas normal, et c'est inquiétant.
— C'est bizarre je n'entends rien, après faut dire que l'ouïe des elfes est plus développée que celle des humains, je suis bien curieuse de savoir, ce qu'il se trame là-haut dans les airs. La nuit commence à tomber, et de ce que je sais des ténèbres je m'inquiète.
A l'aide de sa magie, Aurore se concentra, et perçut le bruit, et eu un pressentiment. Elle sentit que c'était Freïhr, Sylvania et Théodore qui arrivaient d'une manière très peu commune.
— Arianwen, je vous assure que ce bruit n'est pas une menace, c'est juste que c'est Freïhr et Sylvania qui reviennent à bord d'une machine volante. Et ce bruit que tu entends et cette brise que l'on ressent n'ai ni plus ni moins que les hélices de cette machine qu'il appelle un aéronef.
— Un aéronef, cela est alors possible de voler dans les airs.
— Tiens la voilà cette fameuse machine, dit Aurore en pointant du doigt.
— Alors, c'est ça un aéronef, un gros tas de fer avec ces énormes choses qui tourne. C'est un sacré génie celui qui a inventé cette machine.
La machine en question survola en raz-motte le domaine afin de se poser dans le champ que se trouvait près du domaine.
— Suis-moi, nous allons les accueillir, dit Arianwen.
— Bonjour Juliâne, soit le bienvenu.
— Bonjour Arianwen, merci de votre accueil.
— Arthur n'est pas avec toi ?
— Non, il n'a pas pu venir, il est gravement malade.
— Gravement malade ?
— Ne le dites pas à Anne avant le conseil, la connaissant elle risquerait de partir sur-le-champ.
— Oui, tu à raison. Alors, c'est toi qui vas représenter le royaume d'Han-Eltras.
— Oui Arianwen, en tant qu'héritier je vais faire face à mon premier conseil, prendre mes premières responsabilités.
— Si le roi t'a choisi en tant qu'héritier, c'est qu'il a une grande confiance en toi.
— Et j'en suis très fier. Bien que je suis seulement qu'un fils de soldat de haut rang et c'est un honneur pour moi qu'il m'ait accordé une telle grâce. Et pour revenir au roi, nous ignorons la cause de sa maladie, toutefois Luciâne veille sur lui, lui donnant des potions. J'espère qu'il va guérir, je me fais du souci pour lui.
— Je l'espère aussi. En tout cas tu as bien fait de venir, et je te remercie d'avoir pris l'initiative et avoir eu le courage de venir.
— Ça me flatte, dit-il gêné. Sinon où est-ce que nous nous posons mes soldats et moi.
— Ah oui, suivez-moi, je vais vous indiquer dans quel coin de la demeure où vous aller séjourner.
Pour mettre vos chevaux, c'est dans les écuries là-bas. Et pour dormir..., elle eut un moment de réflexion.
— Ne t'inquiète pas pour nous, nous avons prévu nos tentes, et je dormirais avec mes soldats. Je veux juste un emplacement pour nous poser.
— Dans le champ auprès des autres, cela ne vous dérange pas.
— Ca nous conviendra très bien, merci Arianwen.
— Dans ce cas je vous laisse alors, je vous dis à ce soir, le repas est à la nuit tombé.
— D'accord, nous allons nous installer, et merci.
La reine quitta Juliâne, et retourna voir Aurore.
— Alors comment ça se passe la journée Aurore ?
— Très bien, comme tu as pu le constater autour de toi tout le monde est content de se revoir.
— Comment va Félicia ?
— En bien ma foi, elle va très bien, elle s'est remis de ses blessures, elle est m'a annoncé qu'elle m'assistera pour le conseil.
— C'est plutôt une bonne nouvelle que m'apporte là.
— Oui, et en ce moment même elle prépare le sujet.
— C'est formidable.
— Qu'est-ce qu'il y a ? dit-elle en voyant la reine distraite.
— J'entends un bruit de très loin, comme si ça provenait du ciel.
— Quel genre de bruit ?
— Un bruit qui faisait comme ci que le vent était fouetté. Et c'est bizarre que le vent se lève à cette heure-ci, il se passe quelques choses de pas normal, et c'est inquiétant.
— C'est bizarre je n'entends rien, après faut dire que l'ouïe des elfes est plus développée que celle des humains, je suis bien curieuse de savoir, ce qu'il se trame là-haut dans les airs. La nuit commence à tomber, et de ce que je sais des ténèbres je m'inquiète.
A l'aide de sa magie, Aurore se concentra, et perçut le bruit, et eu un pressentiment. Elle sentit que c'était Freïhr, Sylvania et Théodore qui arrivaient d'une manière très peu commune.
— Arianwen, je vous assure que ce bruit n'est pas une menace, c'est juste que c'est Freïhr et Sylvania qui reviennent à bord d'une machine volante. Et ce bruit que tu entends et cette brise que l'on ressent n'ai ni plus ni moins que les hélices de cette machine qu'il appelle un aéronef.
— Un aéronef, cela est alors possible de voler dans les airs.
— Tiens la voilà cette fameuse machine, dit Aurore en pointant du doigt.
— Alors, c'est ça un aéronef, un gros tas de fer avec ces énormes choses qui tourne. C'est un sacré génie celui qui a inventé cette machine.
La machine en question survola en raz-motte le domaine afin de se poser dans le champ que se trouvait près du domaine.
— Suis-moi, nous allons les accueillir, dit Arianwen.