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    Partie 11.3

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    Cassyfantasya
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    Message par Cassyfantasya Lun 14 Avr - 11:35

    Après s'être préparés, les soldats élus finirent par se mettre en route. Le commandant Nathan, chevauchait en tête de colonne auprès de Sylvania et de Freïhr. Lorsqu'ils franchirent les terres d'Enoka, le long voyage commença. Le royaume de Sylva, fut tout près cars ils s'affrontèrent à leur premier obstacle la montagne de Frima qui aujourd'hui se montrait clément, rare sont les jours ou la tempête de glace fut absente, il la franchissait sans le moindre souci, suivit de la traversé du fleuve de Lathéria par le pont de la ville de Crizalis, où ils dirent une courte halte, ils traversèrent un peu de forêts ensuite ils s'engagèrent à traverser les terre Hilvern, il faisait très froid, un froid glacial où le vent fouettait leur visage, et cela s'estompait qu'en arrivant dans la ville d'Elvonia, puis ils traversèrent de longues plaines d'herbe sauvage jusqu'en arrivant dans le village de Finduilas, un village reculé du royaume de Xénas-Xion, sans faire de halte ils continuèrent leur chemin traversant les terres d'Erinndra qui rejoignaient la montagne de Nortmoria dont la ville Calmoria se trouvait à ses pieds. Ils frôlèrent leur passage près de la cité de Mémoria, allant vers les terres de Sarhaviel, puis ils pénétrèrent  dans la forêt d'Eldwine, et ce fut seulement en arrivant dans la ville d'Eowine le dernier village elfique de ce royaume qu'ils dirent une halte. Au lendemain ils faisaient quelques courses afin de se ravitailler pour la suite du voyage, puis ils s'attaquaient à une autre étape, les terres chaudes du royaume d'Han-Akand. Ils passèrent a  à proximité de la ville d'Helkaatrad. Ils traversèrent le fleuve d'Euphratt, entrant sur les terres Erlhugion. Ils découvrirent un autre type de paysage. Un paysage exotique,  et chaleureux. Ils croisèrent beaucoup d'animaux sur leur chemin. Ils passèrent part la ville de Lothor et remontèrent la carte se dirigeants vers la frontière qui séparait deux royaumes. En franchissant cette fameuse frontière ils ressentirent petit à petit un changement de climat un climat un peu plus doux, et plus ils s'enfoncèrent cela se révélait humide. Ils entrèrent dans la première ville du royaume d'Han-Era qui est Calypso, et cela les dépaysait, car ce fut une ville très moderne par rapport à chez eux au royaume d'Orion et les autres villes qu'ils eurent à franchir jusqu'à présent. Ici ils dirent une courte halte. Quand il venait de partir, ils traversèrent les terres de Jénov passant entre la ville de Nymphe et de Génésis. Il était tout près de la ville leur destination. Après quelques jours de voyage, ils étaient presque arrivés. Suite à un petit agréable effort, ils arrivèrent  dans la grande ville d'Athéna. A peine entrés dans cette ville,  ils en furent émerveillés. Et en la traversant, la splendeur qu'elle dégageait leur mettait plein à leurs yeux. La ville reflétait dans leurs yeux une architecture type empire, et renaissance, et ce fut assez moderne par rapport à chez eux. La pierre des bâtiments était d'un blanc éclatant. Des colonnes de différente forme selon le bâtiment étaient à la fois un élément décoratif et qui supportait les structures.  Les voûtes étaient en arc de cercle. Et sur les structures des dessins d'animaux, de personnages, de créature fantastique y étaient sculptés. Certains édifices étaient décorés de vitraux apportant de la couleur.  Les bâtiments étaient très hauts, et lumineux. Les lignes étaient rectilignes, régulières, et proportionnées.  
    — Voilà nous sommes arrivés, dit Freïhr.
    — Ça a l'air d'être immense, dit Sylvania  regardant le bâtiment de bas en haut.
    — Sylvania et Nathan vous allez me suivre, quant à vous autres, attendez-nous dehors ou bien faites un tour en ville. Proditer pour admirer cette jolie ville. Toutefois, ne vous aventurez pas trop loin je pense que nous n'ayons pas pour très longtemps.
    — D'accord, intervint Olga, je comprends vu le nombre que nous sommes nous n'allons pas tous y entrer, ne t'inquiète pas Freïhr, fait ce que tu as à faire, quant à nous on trouvera bien une occupation à faire. Puis pourquoi pas, proditons d'admirer cette jolie ville, car ce n'est pas tous les jours que l'on voit de pareille merveille. Allez ! Filez ! Je prends le commandement,  des soldats. Je ferai en sorte que l'on reste groupe afin de ne pas nous perdre.
    — On compte sur toi Olga, dit Nathan.
    Après les dernières recommandations, Freïhr accompagné de Sylvania et de Nathan, ils entrèrent dans le bâtiment. Dans le bâtiment il eut foule. Ne connaissant pas la structure, il était perdu. Dans la logique des choses, ils s'orientèrent vers des hommes en uniforme qui patrouillèrent assurant la sécurité. Ils les orientèrent vers d'autres gardes, qui gardaient un ascenseur.
    — Bonjour, je souhaite avoir une conversation avec le roi, et de lui remettre ceci, dit Freïhr sortant la lettre de ses affaires.
    — Attendez, dit-il après les avoir salué, je vais téléphoner à un conseiller pour qu'il vous prenne en charge. Veuillez patienter un moment
    — Merci.
    Après quelques instants que le garde ait téléphoné, l'ascenseur s'ouvrit, et une personne se tenait devant eux.
    — Bonjour, je suis le conseiller Maximilien, dit-il en les accueillant. Venez ! Entrez !
    — Curieux la boite dans laquelle nous montons, dit Sylvania.
    — C'est ce que l'on appelle un ascenseur, répondit le conseiller d'un léger rire. Cela un moyen qui nous permet de monter et descendre les étages très rapidement, sans se fatiguer.
    — C'est astucieux.
    Arrivé à l'étage voulu, le conseiller les mena dans la salle du trône, qui à première vue ressemblait plutôt à un bureau. C'était un endroit assez moderne. La décoration était typé renaissance, de l'ameublement à la tapisserie.
    — Le roi n'est pas là, constata le conseiller.
    — Non, il est aux ateliers, répondit la reine ici présente, il travaille comme chaque sur son nouveau projet.
    — Ah oui je l'avais oublié.
    — Bienvenue en ma demeure jeune gens, dit la reine regardant au-dessus de l'épaule du conseiller. Que puis-je faire pour vous ?
    — Nous avons un message à livrer, dit Freïhr en s'avançant pour la lui donner.
    — Je peux l'ouvrir ?
    — Oui ma reine.
    — Appelez-moi Annaéris jeunes gens, au diable les bonnes manières pour des personnes de votre rang. Vous êtes ici chez vous.
    — Bien que cela me surprenne, c'est comme bon vous semble, je ne voulais pas vous manquer de respect.
    La reine les mit à l'aise, puis elle lit la lettre.
    — D'après ce que je lis c'est un message d'urgence provenant d'Arianwen, qu'est-il arrivé pour qu'elle organise conseil ? Pourquoi aurait-elle besoin de notre présence ? Je n'ai pas beaucoup de détail dans cette lettre. Elle me dit que 'nous demandons le soutien de tous les royaumes et de compter sur votre présence pour parler de choses urgentes et importantes. La vie d'une personne voir la vie de notre monde est menacée. Cela me fait froid dans le dos. Il a dû passer quelque chose de très grave.
    — Bien que ne sais pas si j'ai le droit de vous en informer, dit Freïhr, mais cela concerne la petite Ashélia, elle possède un objet quel ne devrait pas avoir en sa possession, et en ce moment l'armée du dragon la traque, car il le convoite, et cet ennemi s'avère être très dangereux. Ashélia, a été sévèrement blessé, et la reine Arianwen, demande le soutien de tout le monde afin de lui apporter allégeance.
    La reine fut choquée, l'argument de Freïhr dit mouche.
    — Pourquoi n'a-t-elle par argumenter ces choses-là dans sa lettre ?
    — De peur que vous le preniez mal, ou bien de peur de vous effrayer. Puis je pense qu'elle voulait en parler à tout le monde en tête à tête. Ce que je viens de dire, cela reste entre nous, car ce n'était pas à moi d'en faire l'annonce, mais c'est sorti afin de vous tenir informé des détails que vous vouliez apprendre.
    — Rien de ce que tu as dit ne sortira d'ici, tu en as ma parole, Freïhr, toutefois je devrais avertir Théodore sur le champ afin de le tenir informé, et je pense que nous devions avoir une conversation avec lui.
    — D'accord, allons le voir.
    — Suivez-moi, dit la reine, nous allons dans les ateliers, en même temps ça vous donnera l'occasion de voir ses projets sur lesquels il travaille.
    Après avoir quitté la salle du trône, ils réempruntèrent l'ascenseur afin de monter dans les étages supérieurs, les emmenant voir Théodore dans la salle des projets. La salle fut immense. Ils découvrirent plein d'ouvriers qui étudiaient et faisaient des plans. En contrebas, se trouvait le projet sur lequel Théodore et ses ouvriers mettaient toute leur énergie. En ayant jeté un coup d'œil sur les plans, ils avaient déjà une idée sur le type de projet qu'ils travaillaient, mais ils étaient loin de s'imaginer que ce projet était immense. Un genre de machine volante s'y tenait en contrebas de la salle.
    — Bonjour ma reine, dirent des ouvriers en s'inclinant lorsqu'elle passait auprès d'eux.
    — Bonjour, dit d'elle leur répondant successivement. Où es le roi, je ne trouve pas, dit-elle en ayant interrompu un des ouvriers dans son travail.
    — Il est là-bas, sur les hauteurs devant son bureau.
    — Merci.
    — Oh ! Mais de rien ma reine.
    — Ça y est, je le vois, dit-elle en s'approchant.
    Les ayant vus, Théodore interrompit son travail, et descendit de sa plateforme se hâtant d'aller à leur rencontre.
    — Quelle est la raison de votre présence en ce lieu ?
    — Voilà la raison de notre présence. Lis cette lettre et tu comprendras.
    — Est-ce une machine volante, dit Nathan ?
    — C'est un aéronef pour être plus précis. J'expérimente un nouveau projet de machine volante pour l'armée, et comme moyen de transport. C'est mon troisième modèle. J'étudie afin de trouver l'aéronef idéal. Je recherche la solidité, la rapidité, et l'autonomie. Et ce n'est encore qu'un prototype. Je l'ai baptisé Hercule III.
    — D'après ce que je vois, c'est un projet colossal.
    Pendant que Nathan émerveillait devant l'aéronef en construction, Théodore prit un moment pour lire la lettre.
    — Que se passe-t-il plus exactement ?
    — Eh bien... dit la reine, Freïhr m'a expliqué que la petite Ashélia possède un objet dont elle devrait ne pas avoir en sa possession, et qu'en ce moment l'armée du dragon la traque puisqu'il convoite, et cet ennemi en question serait très dangereux. Ashélia, a été sévèrement blessé, et la reine Arianwen, demande le soutien de tout le monde afin de lui apporter allégeance.
    — Je vois... Et ce mystérieux objet en question, je parie que c'est ce fameux médaillon maléfique qui était soi-disant perdu dans la Lathéria. Je me trompe ?
    — Non, vous vous n'êtes pas trompé, C'est bien celui-ci, répondit Freïhr.
    — C'est bien problématique cette histoire, dit-il d'un moment de réflexion.
    Le roi hésita, car il pensa à la suspension des travaux de son projet, et qu'il devait faire un choix.  Mais regardant dans les yeux cléments de sa femme, son choix a été fait.
    — Votre amie aura le soutien d'Han-Era, j'irai me rendre à ce conseil, toutefois je souhaite avoir une conférence avec certaines personnes. Je ne peux laisser mon royaume sans ordre à suivre. Laissez-moi un moment je vais à mon bureau afin de leur téléphoner, et je reviens vous voir.
    — D'accord, dit Freïhr.
    Après quelque temps d'attente le roi fut de retour, et les invita de le suivre. Ils reprirent l'ascenseur afin de remonter à l'étage, et parcourant quelques recoins d'un couloir, ils entrèrent dans une grande pièce qui semble être la salle de conférence. Des personnes étaient déjà présentes, asseyait sur leur place respective. Le roi présenta des places auxquelles ils étaient conviés à s'y installer. Bien que d'autres personnes étaient attendues, le roi prit place qu'en dernier. Désormais en présence de ses généraux, conseillers, et de Maîtres-d'œuvres d'atelier de différent corps de métiers, il s'était installé auprès de sa femme. D'un court moment de réflexion, le roi lança le débat.
    — Mesdames, Messieurs, je tiens tout d'abord à vous saluer. Vous êtes ici présent, car ces braves soldats on fait un long voyage depuis le royaume d'Orion pour me délivrer une lettre, dit-il en leur présentant le bout de papier, et cette lettre est une convocation. Un conseil a été organisé à Laenaya, et j'ai pris la décision de m'y présenter. Et à en croire Freïhr, il s'agit d'une affaire importante et urgente que je ne dois pas en dire plus, car  J'ai appris des choses qui ne m'enchantait guère, et je tiens que ces choses-là ne soit pas divulguées afin de ne pas créer de tensions dans notre royaume. Toutefois, j'ai quelques instructions à vous faire part avant que le parte. Tout d'abord, je délègue toute mon autorité à votre reine que vous devez allégeance et obéissance. Les généraux, vous avez l'ordre de maintenir le royaume en sécurité. Les soldats doivent doubler de vigilance, et faire des rondes autant qu'ils le peuvent, les temps furent sombres. Quant aux Maître-d'œuvres, les ouvriers devraient stopper tous les projets et de se concentré de fortifier l'armement, et les défenses, et le reste des choses à faire vous le faisiez déjà quotidiennement.  Soyez, discret auprès de la population. Attention de ne pas attirer la curiosité des gens, afin de ne pas éveiller certaines rumeurs de temps tragique. Je fais ça simplement par précaution, rien de plus. Voilà c'est tout ce que j'avais à dire, vous  pouvez désormais libérer.
    — Freïhr, dit-le roi afin d'attirer son attention.
    — Oui mon r....
    — Théodore, dit-il d'un léger rire, appelle-moi Théodore.
    — Eh bien, oui Théodore, reprit-il.
    — Nous partons sur le champ, du devrait rappeler tes soldats. On se rejoint à l'entrée de ma demeure. Nous allons tout d'abord à Génésis ici nous prendrons un de mes Aéronefs... Un Hercule II. Il est moins performant, mais il suffira pour faire le voyage.
    — Nous allons voler, dit Sylvania d'un air étonné et non rassuré.
    — Oui Sylvania, nous allons voler, le roi acquiesça d'un sourire, cela cause un problème ?
    — Euh non, c'est jute que c'est la première fois que je verrai le paysage vu dans haut.
    — Tu vas voir, c'est magnifique, rassura-t-il.
    — Je veux bien croire.
    — Je vais me préparer, on se rejoint à l'entrée alors.
    — Oui, répondit Freïhr.
    Suivi de Sylvania et de Nathan, il alla à la recherche de leurs soldats qui visitait sans doute la ville. Après quelques détours, ils trouvèrent enfin leurs soldats et se rendirent à l'entrée de la demeure telle au désir du roi.

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