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    Partie 20.2

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    Cassyfantasya
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    Message par Cassyfantasya Mar 15 Avr - 22:58

    Privé de leur roi, au château l'atmosphère semble être tendu, les soldats se montrait sur les nerfs, et tendu, et ignorant ce qu'il se passait, et ignorant la source du mal. Ne serait-ce pour un côté les empêcher qu'il rentré et de l'autre pour forcer le passage ou même se défendre, un massacre peut vite arriver. A l'approche des gardes de la porte du domaine, Juliâne s'apprêtait de passé la porte d'entrée, mais les gardes lui barrait le passage, lui certifiant il n'avait plu les droits de rentrer et qu'il a été banni. Quand Juliâne commençait à s'énervé Aurore qui était derrière, Mis une main sur l'épaule de Juliâne, et à son regard  il comprit qu'il devait la laisser faire, elle serait surement plus doué que lui en diplomatie. La laissant passer devant Aurore parla de manière douce et courtoise avec les gardes, mais dieu soit loué qu'elle n'eut pas à négocier. La reine Alexia, qui avait elle aussi entendu les rumeurs avais fait le voyage pour prendre les choses en mains que maintenant son royaume était désormais stabilisé. D'ailleurs, les gens étaient surpris de la voir, personne ne s'attendait à sa venue. Une femme en armure se tenait à ces côtés qu'elle présenta, Céline sa gardienne, et générale en chef de son armée. Son armée s'était postée juste à côté de la ville. Surpris de voir la reine, l'un des gardes bafoua à la demande de la reine qui demandait d'ouvrir les portes et de les laisser passer. Ignorant ce qui les attendait derrière. Pour la sécurité de la reine et du petit groupe Juliâne et ses soldats passèrent devant. Luciâne qui était assis sur le trône pesta le retour de juliâne. Les gardes étaient prêt à l'arrêté, mais la reine était là, derrière et d'une voix haute et ferme qui ne perdait pas de ça douceur, dit opposition, et de laissé Juliâne de s'exprimer. Son autorité était exemplaire. Luciâne qui ne s'attendait pas à la présence de la reine avait fait un bon, et contrôlant la tension il essaya de se dépatouiller de cette histoire, en faisant passer Juliâne pour le méchant et un menteur, c'est alors Hélène avait réagir pour défendre son frère. La reine avait vite assimilé les choses. Etant déjà dans le feu de l'action avec les problèmes qu'il y a eu sur son royaume, et de la perte de sœur ainée, elle était bien au courant des choses. C'est ainsi qu'elle résonna Luciâne tout en prenant la défense de Juliâne, et savoir qu'il avait menti en quoi, car Juliâne avait démasqué ses plans diaboliques. Elle voulait savoir la raison pour laquelle il avait fait ça, et elle disait qu'il n'était pas trop tard de se racheter. La reine était si clémente contrairement à son mari qui l'aurait fait condamner sans qu'il soit jugé, d'ailleurs c'est ce qu'elle craignait lorsque le roi sera de retour sur pied et en bonne santé, mais pour le moment ce n'était pas le cas. Elle était très inquiète pour son mari. Cela fait des semaines qu'il était cloué au lit. Nul ne sait s'il était vraiment malade ou bien qu'il aurait été victime d'un maléfique, et que Luciâne en serait complice. Tout le monde avait des soupçons sur lui, rien le fait qu'il siégeait sur le trône à la place du roi et qu'il prenne le royaume en mains, et banni Juliâne, il n'y avait pas de doute, sinon elle ne verrait pas l'intérêt qu'il réagirait ainsi. La petite troupe, s'approcha du trône air méfiant. Aurore jeta un regard la fois blême et furieux sur son père. Etant très déçu de lui, touché par de brèves visions en ayant échangé ce vif regard, quelque chose lui disait qu'il n'était pas la source principale, et le moment était venu pour échanger quelques mots, elle lui murmurait à l'oreille qu'elle avait tout vu à travers ses yeux emplis de malheur. Luciâne se sentait tout de même honteux pour ce qu'il avait fait au roi. Tout le monde semblait vouloir le pardonner, mais le roi quant à lui saura-t-il montrer sa clémence. Aurore fut autorisée de voir le roi, elle était suivie de la reine. Celine inquiète pour la sécurité de la reine semblait vouloir la suivre, mais cette dernière disait de resté avec les autres, et que ça ira. Toujours à l'écoute de la reine, Céline resta auprès de ses nouveaux compagnons. Pendant Aurore prodita d'être seul avec la reine divulgua certaine chose qu'elle avait vu dans le regard de son père, et qu'elle a tout vu. Et dieu sait que son père avait subi d'atroces choses, et en était triste pour lui. La reine qui était surprise, semblait être de son côté. Mais pour le moment l'enchanteresse devait se concentrer sur le roi. Elle maitrisait sa magie à la perfection, le sortilège avait tenté de résisté, mais l'ayant monté de quelque cran, elle avait réussi d'en venir à bout, finalement le maléfice qui rongeait à petit feu le corps du roi avait mis peu de temps pour disparaitre. Désormais en pleine santé, le roi qui avait repris petit à petit ses esprits avait remarqué ce qu'il faisait ici dans sa chambre allongé dans son lit, il ne comprenait strictement rien à ce qu'il venait d'arrivé, il ne comprenait même pas la présence d'Aurore, et d'Alexia. Il ne connait nullement les dernières nouvelles du monde, et il ne savait pas que le médaillon avait été retrouvé, il ne comprenait vraiment rien à ce qu'il lui arrivait. Plein de questions rodent dans sa tête, et il va bien devoir commencé pars quelque pars. Les deux femmes le salua, et le convia de venir dans la salle du trône. Glissant des bouts des doigts de Juliâne qui voulait la retenir, Ashélia courut vers le roi qui la réceptionna en la serrant contre lui. Le roi gêné autant qu'Alexia, était ravis affichant un sourire de bonheur, mais balayant la foule du regard cela le rendait anxieux, comme si qu'il c'était passé quelque chose, il se demandait pourquoi qu'il y avait tant de monde dans la salle du trône, et le pire c'est qu'il ne souvenait vraiment de rien, et il ne se rendrait pas compte dans l'état qu'il était. Juliâne, dégaina l'épée qui était dans son fourreau, il s'avança vers le roi en la tournoyant, ce qui créait un vrombissement. Le roi se rendit compte que c’était son épée, l'héritage au trône, qu'il possédait entre ses mains.  Il ne comprenait pas pourquoi Juliâne portait cette lame qui est la sienne, et la lui rendit si soudainement. Il exigeait donc d'explications.
    — Si vous tenez vraiment à savoir toute la vérité, vous seriez déçu d'apprendre qu'il ait un traitre au sein de la cour dit-il sans dénoncer qui que ce soit.
    — Un traite ici dans ma demeure ? Bondit le roi. Précise-toi Juliâne, continua-t-il inquiet.
    Un silence combla la salle.
    — Quelqu'un dans cette pièce pourrait me dire ce qu'il s'est passé, et ce qui m'était arrivé. Juliâne tu m'annonce qu'il y a un traitre ici, pourrai-je connaitre le nom, ou bien tu l'ignores aussi, à moins que tu le connaisses et tu me le caches. En tant que roi, et victime j'exige de tout savoir.
    Juliâne était dans un embarra total. La cour martial d'Eltras représenté pas le roi en personne le condamnerait à mort sans effectuer le moindre jugement, mais en même temps il le méritait pensa-t-il, mais c'était juré de ne pas le dénoncé, car il en avait fait la promesse à Aurore, et en ayant pris conscience de cette loi que l'on réservait aux traitre, il en eut lui-même pitié de lui. Le roi fixa le visage de chacun.
    — Ashélia, pourquoi ses larmes ? Sais-tu quelque chose ?
    Ses yeux tournés vers Juliâne, lui faisait signe de la tête comme pour signaler qu'elle ne devait rien dire.
    — Que me cachiez-vous à là, dit le roi en perdant patience.
    — Le coupable c'est moi, majesté dit Luciâne qui avait réussi à puiser au fond lui un certain courage afin de se dénoncer.
    — Comment ? Je crois que n'ai pas tout à fait saisi, dit le roi qui n'en croyait pas à ses oreilles. Je ne suis surement pas tout à fait guéri, et que mon esprit doit se jouer de moi. Foutu maladie.
    Luciâne, venait de se dénoncé, et tous étaient surpris de sa réaction. Faisait-il de l'irone pour masqué sa colère ou bien il n'avait vraiment rien compris. Etrange, car ça ne lui ressemblait pas, et c'était bien inquiétant.
    — Sa majesté n'est pas fou, reprit Luciâne avec un ton respectueux, il a très bien compris mes aveux.
    — Tu es mon plus fidèle serviteur, nous avons accomplie de maint exploit ensemble, aucun enchanteur dans ce monde ne saurait montrer une sagesse supérieure ou égale à la tienne, tu es l'époux de ma défunte sœur, et tu es mon ami. Non, J'ai quand même du mal à te croire, répondit le roi maitrisant sa colère, non on ne la fait pas à moi, dit-il attristé, refusant de le croire. Mais pourtant, on dirait que c'est vrai, continua-t-il lançant un soupire. Qu'est-il venu par la tête pour commettre une telle chose ?  Et pour le compte de qui — Qui t aurait forcé la main ?
    — Je ne peux rien te dire. Chacun de mes mots, mes faits et geste sont observés. J'ai conclu un pacte contre une vie qui m'était chère et maintenant je dois le respecter au prix de ma vie. Il voit tout, il entend tout, il sait tout.
    — Qui il ? De qui parles-tu ? Qui pourrait faire peur à un grand puissant enchanteur comme toi. Qui crains-tu autant, dis le moi ?
    — Une personne dont on ne peut prononcer le nom, au prix d'être châtier, un maléfice a été jeté sur moi.
    — Si tu ne me donnes pas plus d'information, j'entendrai tes aveux comme silencieux, et tu seras accusé de trahison si tu refuses de coopérer, et tu connais la sentence. Alors réfléchis bien.
    — J'ai tellement honte de mon action, je mérite la mort, et je préfère être tué par un ami que par une chose monstrueuse dont le nom me sort des yeux. Ma vie n'a plus d'importance. Je sais qu'à cette heure Félicia est morte de toute façon et que je vais bientôt la rejoindre.
    — C'était contre sa vie, que tu m'avais anéanti, m'avoir forcé à vivre la fin de mes jours dans un lit, telle qu'un vulgaire pantin.
    — Oui mon seigneur. Je t'ai trahi pour elle. J'ai perdu ma femme, mais je ne voulais pas subir à nouveau en perdant mon amie, j'ai assez souffert. C'est vrai Félicia ne remplacera jamais Elowny mais elle a été comme une mère pour ma fille, sans elle Aurore ne serait pas une enchanteresse aussi brillante et aussi sage qu'aujourd'hui. C'est pour cela que je tiens à elle.
    — Je te comprends Luciâne, mais que vais faire de toi ? Car j'aimerai tant te pardonné, mais de l'autre côté je ne peux de laisser trahir les nôtres au détriment de ton amour envers Félicia.
    — C'est au roi de décider de ma sentence, car je ne peux cette fois-ci décider à sa place.
    Le roi qui avait récupéré son épée l'avait dans ses mains et la contempla d'un regard bref puis marqua une pause de réflexion en regardant son ami qui surpris de sa réaction si posée de son amis ne montrant au aucun stress lui dit signe de la tête, sa décision semble être prise.
    — Puisque c'est ainsi que tu vois les choses, tu vas bientôt rejoindre ta bien aimé dans l'au-delà, la mort que je te donnerai te lavera de ton acte, et tu pourras partir en paix, je suis désolé mon ami.
    — Merci.
    Luciâne s'agenouilla tête baisse, quant à Arthur leva son arme à la hauteur de la nuque du coupable.
    — Que la divine Ancia te juge et qu'elle t'accorde le pardon, dit le roi d'une voix amère.
    — Qu'il en soit ainsi.
    Au moment où le roi allait frapper, Freïhr, malgré son hésitation lorsqu'il avait observé le regard triste d'Aurore eut l'audace sorti rapidement son arme afin de vouloir le contré, mais ce fut une force divine qui empêcha l'exécution du coup.  
    — Non, cria Aurore les mains pointées vers l'avant en direction de la scène.
    La magie qui sortait de ses mains semblait très forte puisque la lame fut stoppée net. Le roi avait beau forcer c'était sans espoir. La volonté d'Aurore était bien plus forte. Freïhr qui avait échoué, avait lancé un soupir de soulagement.
    — Non ? Dit le roi se tournant vers Aurore.
    — Ton père nous a trahir, et mérite d'être puni.
    — Le tuer ne mènera à rien, intervint Freïhr. Vous qui êtes si bon et si juste, ne sombrez pas vers la haine, ne rentrez pas dans le jeu du démon puisque c'est ça qu'il attend de chacun d'entre nous, alors je vous en prie, rangez votre épée, puis l'essentiel c'est que vous êtes guéri.
    — Mon oncle, Freïhr à raison, appuya Aurore, je peux comprendre que son acte est impardonnable, mais je t'en prie épargne, ta colère n'effacera pas ce qui a été fait.
    — Aurore, ne comprend tu donc pas que ton père est au service des ténèbres concluant un pacte pour sauver une vie qui lui est cher, et qu'il ne pourra finalement pas la racheter, et toi, dit-il en s'adressant à Freïhr, qui es-tu pour juger de ce qui est juste ou pas. Ici la loi c'est moi et elle est la même pour tout le monde, sans exception, et bien que cela de me fasse pas plaisir, Luciâne doit subir les conséquences de ses actes, et il a l'air de les assumer pleinement.
    — Si votre Majesté puisse me le permettre de me laisser présenter, je suis Freïhr, le fils unique du défunt roi Nicolas et de la défunte reine Akénaï, héritier du trône d'Ashara, je vous demande une nouvelle de ne pas sombrer dans la haine. Votre colère ne résoudra pas les choses, hormis un nouveau bain de sang.
    — Alors, c'est toi le fils héritier du royaume d'Ashara, qui avait fait tant de bruit en refusant la succession de ton père. Prend déjà l'autorité de ton royaume, et gouverne le, après tu pourras lancer des leçons, et sache ici tu es dans ma demeure, tes recommandations tu peux te les garder. Et ne te met pas au travers de mon chemin avant que je ne mette une fessée déculotter devant tout le monde, et que tu iras pleurer sur la tombe de ton défunt père.
    — Que lui arrive-t-il, pensa la reine surprise de l'arrogance de son mari.
    — Comme disait Freïhr tout à l'heure, repris Aurore d'une voix sévère,  tout ça est lié au démon. D'abord la naissance d'Edouard, l'enchainement des batailles, puis...
    — Quoi que tu dises Aurore, je ne changerais pas d'opinons, ton père nous à trahir et dois subir les conséquences.
    — Un jour votre orgueil, pesta Freïhr en colère contre le roi, votre vanité, vous perdra majesté croyez moi.
    — Garde, emparez-vous de lui et jetez-le hors de ma demeure.
    Aurore désemparée chercha de l'aide dans le regard de la reine, lui faisant constater qu'Arthur réagissait à la volonté du médaillon que portait Ashélia et la pria d'intervenir avant que ça dégénère.
    — Stop, ça sufdit maintenant, cria la reine d'un timbre de voix enraillé. Certes, Luciâne a fait quelque chose de très mal, et d'ailleurs il semble de le regretter. Alors, mais tu devrais te donner la peine de les écoutés, Aurore à beaucoup à t'apprendre donc tu devrais plutôt te montrer lucide au lieu de resté borné sur ton opinons.
    — Tu me demandes de faire confiance or nous avons été trahis. Bon d'accord, céda-t-il à cause de la détermination de la reine qu'elle avait projetée à travers son expression qu'elle avait laissée sur son visage.
    Quant à Luciâne, il ne comprenait rien à ce qu'il se passe, mais il en a une brève idée. Aurore doit savoir des choses importantes, dont il devait ignorer, car depuis peu il avait volontairement fermé son esprit afin que les ténèbres ne puisse lire en lire et prendre des informations.
    Aurore releva son père et reprit la parole.
    — Les ténèbres, le l'ai vu de mes yeux, et dieu sait l'être qu'il est et je l'ai même combattu. Sa force est surprenante, elle très puissante, pourtant Félicia était à mes côtés, mais nous n'avions pas réussi en venir à bout de lui.  Félicia s'était sacrifiée pour me sauver, gravement blessé nous avions réussi à nous enfuir dans un endroit sûr, mais ça va des braves gens prenne bien soin d'elle, et ça vie n'est pas menacé, dit-elle aussitôt pour rassuré son père qui serait mort de chagrin dans le cas contraire. Et cet homme qui nous pose tant de problèmes furent jadis l'enchanteur du roi Ethan de la maison de Saya, termina-t-elle.
    Dorian ! Pourquoi vous ne me l'avez pas dit plus tôt au lieu de garder tout dans le silence.
    — Tu as bien parlé ma fille, je suis fier de toi, ta mère aurait bien voulu te voir grandir, et je pense qu'elle aurait été fière de t'avoir comme fille, ta sagesse est sans égal, merci de m'avoir sauvé, et je suis prêt à présenter mes excuses auprès de tous.
    — Tiens en parlant d'excuse, dit le roi, qui venait de se rendre compte d'une chose, car s'était la première fois qui avait été désagréable, comme si il avait été possédé par une force maléfique, de la haine était sorti de son cœur. Freïhr, je suis désolé pour t'avoir dit de sombres paroles à ton égard, je ne sais pas ce qu'il m'a pris tout à l'heure.
    — Oh ce n'est rien, c'est ma faute je n'aurai pas dû me mêlé de vos affaire, vous avez raison vous êtes ici dans votre demeure et vous êtes libre de fait ce que bon vous semble, puis j'aurai du m'en douté que ce foutu médaillon aurait fait des siennes en proditant la moindre poussé de voix pour mettre la discorde qui aurait pu mal finir si la reine n'était pas intervenue.
    — Dorian et maintenant le médaillon, dit le roi, Oh non, miséricorde. Qu'avez-vous fait ? Vous n'allez pas me dire que le médaillon a été retrouvé, et qu'il est en votre possession. Tout s'explique maintenant, j'ai dû rater un épisode pendant que j'étais malade.
    — En effet, répondit Aurore qui ne pouvait plus rien cacher, le médaillon est la cause de toute cette histoire, et c'est lui qui maintient l'esprit de Dorian en errance. Et Anarkia, est derrière tout ça. Nous en avons trop dis, et comme les ténèbres sont partout comme disait mon père, je souhaite de ne pas aller plus loin dans cette conversation. Pour la sécurité de tous, ce sujet doit rester clos.
    — Très bien, je respecte ton souhait Aurore, acquiesça Arthur déçu, car il aurait tant aimé d'en savoir davantage. Puis je te remercie d'avoir réparé les erreurs de ton père, sans ton intervention je ne sais pas comment j'aurais fini, mais jours, mais bon j'espère pour lui que ceci lui servira de leçon et qu'il ne le fera plus.
    — Merci de ta clémence.
    — Que vas-tu faire maintenant.
    — Je  pense que je vais partir voir Félicia voir comment elle va et avoir une sérieuse discussion avec elle. Nous devons réparer nos erreurs.
    — Vos erreurs ? Qu'avez-vous fait ?
    — Je ne peux vous communiquer la moindre information, mais si je peux me racheter et regagné votre confiance, vous devez partir de la ville au plus vite quelque chose de terrible va se passé, et vous ne serait pas en sécurité ici, emmène ton peuple derrière les défenses de sa plus solide forteresse. Et protège-la, c'est tout ce que je peux te dire, d'où la raison de leur présence.
    — Oui, intervint Aurore, durant notre voyage nous sommes passés par crizalis dont la reine nous avait offert son hospitalité. J'ai eu un entretien avec, elle m'avait parlé du roi, qui était gravement malade, et me partageant ses visions, elle m'avait informé qu'Eltras sera une proie facile aux assaillants si le roi était dans cet état, alors elle nous a conseillé de mettre en suspend notre mission et de venir à votre secours, et selon Juliâne des éclaireurs ennemis rodait dans les environs, cela veut dire que leur armée n'est pas loin, d'ici quatre ou bien six jours ils seront devant les portes.
    — Pas besoin de fuir, dit le roi avec présence, qu'ils viennent, nous préparons une défense devant la ville, et nous les combattrons, et nous les repousserons, jusqu'à les exterminer jusqu'au dernier s'il le faut. Nous disposons de très bons soldats, leur force, leur courage, leur vaillance est grande. Notre armée est très puissante, et nous les avons vue à l'œuvre quelque décennie plus top, donc je ne pense pas que nous devons fuir.
    — Mon père, dit Juliâne, j'ai combattu quelques-uns d'entre eux, ce ne sont pas des guerriers ordinaires. Bien qu'ils ne sont pas dotés d'une extrême intelligence, ils sont forts et robustes, et je pense fuir vers une forteresse derrière laquelle nous combattrons en sécurité serait plus sage. Et je pense que nous devons partir vers Alézia la ville est assez grange pour réfugier les Habitant de St Poladeléa, et ses murs sont haut, et robuste.
    — Mon cher époux, ils ne sont pas là pour détruire et pillé les demeures, saccagé les récoltes, massacrer quelque villageois ou prendre un territoire, comme le faisait nos ancêtres de la terre des Hommes, mais pour anéantir la Grande-Alliance et la moindre personne qui en fait partie. Ils veulent détruire notre identité, notre famille. Et je les ai vu à l'œuvre, ils ont tué ma sœur, et il aurait mis à néant le royaume, si Dannah n'avait pas été là pour reprendre la relève et repoussé l'ennemi qui s'était retranché je ne sais où. D'ailleurs avec son armée, elle doit surement les traquer à l'heure qu'il est.
    — La reine Ivie est tombée, quelle triste nouvelle, fut surprit Arthur, je te présente mes sincères condoléances. Juliâne mon garçon, tu sais ce qu'il te reste à faire.
    — Oui, mon père, dit-il d'un sourire, j'y vais de ce pas.
    Juliâne partit à l'Etat Général, où siège l'élite du royaume, qui se trouvait dans une caserne militaire rattachée au château, afin de distribuer les ordres du roi.
    — Nous partons pour alézia, dit Arthur à vive voix, et là-bas nous les écraserons jusqu'au dernier, et je vengerai ta sœur, j'en fais serment.
    — Ce n'est pas pour la vengeance que nous combattons, répliqua la reine, mais pour notre survie.
    — Tu as raison ma reine, pour notre survie, dit-il gêné, enfin bref... nous partons d'ici.

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