— Faites attention jeunes filles. Elles sont folles ? Qu'est-ce qu'elles ont à chevaucher comme ça, dirent des villageois mécontents.
— Regardez ! C'est la princesse Dannah et la jeune princesse Ashélia. Que font-elles ici, dirent d'autres.
Leur traversée dans la ville de Laenaya était légèrement anarchiste, à en croire les différentes opinons des villageois. Toutefois, elles s'excusèrent auprès d'eux en signe de politesse. Elles chevauchaient tellement vite qu'elles étaient à peine reconnaissables. Elles étaient pressées. Faisant une entrée fulgurante dans la cour du domaine royale, elles attirèrent le regard des gardes sur elles, qui s'avançaient afin de les accueillir.
— Laissez-moi vous aider dame Sylvania, dit le capitaine de la garde.
— Merci capitaine, dit-elle après être descendue de sa monture.
— Soldat.
— Oui mon capitaine.
— Allez avertir la reine, de leur présence et de lui annoncer que sa petite fille Ashélia est mal en point.
— Bien capitaine j'y vais de ce pas.
Agissant sous cet ordre, le soldat courut vers la demeure au plus vite qu'il ait pu, afin d'exécuter ce que le capitaine lui avait ordonné.
— Que s'est-il passé, dit le capitaine ?
— Des soldats en armure noire ayant l'emblème du dragon nous poursuivent depuis Saint-Poladeléa, répondit Dannah, Ashélia porte un objet qu'il convoite. Et cette personne qui est derrière tout ça est Shaitâne, et il a l'air d'agir sous les ordres de son père.
— Je suis un peu au courant de l'histoire.
— Ah oui ?
— Aurore et Félicia sont ici. Elles nous ont raconté leur mésaventure. Félicia a été sévèrement blessée lors de la confrontation contre Dorian, mais rassurez-vous ses jours ne sont pas en danger.
— Capitaine puis-je vous demander une faveur.
— Oui Sylvania, que veux-tu.
— Eh bien... Freïhr se trouve quelque part en Laloria, nous avions été contraints de nous séparer à cause de notre confrontation contre ces soldats qui nous traquent. Il s'est mis en danger pour nous sauver. Puis-je vous demander de me le retrouver ? J'espère que rien ne lui est arrivé.
— Capitaine, dit Dannah, laissait moi continuer à porter ma sœur à l'abri.
— Je vous en prie Dannah, dit le capitaine poliment, tenez, prenez votre sœur, dit-il avec délicatesse. Vous deux vous restez avec elles, et les autres suivez-moi nous avons une mission à accomplir. Je vais vous le retrouver votre Freïhr dame Sylvania.
— Merci Capitaine.
Le capitaine accompagné de ses soldats allèrent dans les écuries afin d'atteler leurs montures. Le Capitaine chevaucha en tête de colonne. Et traversant la propriété et la ville il croisa plusieurs officiers et de soldats.
— Soldats joignez-vous à moi, nous avons une mission à accomplir. Nous devons retrouver une personne de haute importance au nom de Freïhr. Augmenter la garde, dit-il en criant lorsqu'il sortit de la ville. Parez-vous à doubler de vigilance soldat, et de se préparer à la défense en cas de nécessité. Les soldats ne comprenaient rien, mais ils exécutèrent cet ordre quand même et faisaient passer le message.
— Capitaine Joachim, Capitaine Vanceslas et Capitaine Alexandre prenez vos unités et suivez-nous en détachement afin de sécuriser la zone, et les autres suivez-moi.
— Bien Capitaine Nathan.
— Soldats, suivez la première unité en détachement pour sécuriser la zone dirent les trois Capitaine en cœur.
En tout, il y a avait à peu près trois-cents soldats qui c'était joints a lui et près d'une centaine en défense. Sylvania l'avait longtemps observé lorsque le capitaine de la garde était parti. Elle était surprit de ce comportement si réactif et si dévouer.
— Ça va Dame Sylvania, dit l'un des deux gardes.
— Oui ça va, dit-elle la tête légèrement dans les nuages pensant à ce capitaine.
— Poursuivons notre chemin.
— Oui vous avez raison, dit-elle en reprenant la marche.
Entre deux, la reine avait appris la nouvelle. Sous l'effet de surprise, cela lui dit un choc. Son cœur s'était mis à s'accélérer. Son beau visage de monarque changea de ton, faisant ressortir l'angoisse et la tristesse. Elle défaisait ses chaussures à haut talon, et partit sur-le-champ afin d'aller la voir. Suivie par le garde, elle parcourut la demeure en courant, qui n'était pas facile dans sa tenue. Elle portait une longue robe dont dans l'empressement elle piétina dessus à plusieurs reprises, pouvant la faire trébucher, mais avant que cela arrive, elle avait fini par la maintenir relevée à pleine main pour ne pas subir cette conséquence. Se trouvant sur le seuil de sa demeure, elle avait ralenti le pas, et du haut de ces quelques marches qu'elle eut à descendre, elle aperçut Sylvania, Dannah, Hélène et Amélia qui marchaient auprès des deux gardes. Au fur et à mesure qu'elle avançait, ses yeux devenaient de plus en plus scintillants, puis de fines larmes finirent par être versées le long de ses joues. Ses sentiments avaient craqué du fait qu'elle vit de ses propres yeux sa petite fille inconsciente dans les bras de sa grande sœur. La reine s'arrêta devant Dannah et caressa la joue d'Ashélia.
— Venez. Suivez-moi, dit la reine maîtrisant son chagrin. Mais... où sont les gardes, dit-elle en remarquant le vide dans sa cour.
— Ils sont partis me chercher Freïhr, dit Sylvania.
— Freïhr était avec vous ?
— Oui grand-mère, dit Dannah, et sans son aide nous ne serions pas ici. Donc je pense qu'il mérite d'être aidé à son tour. Il s'est loyalement battu tout au long de notre voyage, et là dans la forêt de Laloria nous étions contraints de nous séparer pour créer une diversion.
— Oui tu as raison Dannah, vous aviez bien fait, dit-elle rassurer. J'étais juste surprise qu'il n'y ait plus de garde dans la cour.
— Oui je comprends, dit Dannah.
— Allez entrer, suivez-moi, nous allons mettre Ashélia dans une des chambres à l'étage, je vais m'occuper d'elle sur-le-champ, car j'ai bien peur que son état soit bien avancé.
— Regardez ! C'est la princesse Dannah et la jeune princesse Ashélia. Que font-elles ici, dirent d'autres.
Leur traversée dans la ville de Laenaya était légèrement anarchiste, à en croire les différentes opinons des villageois. Toutefois, elles s'excusèrent auprès d'eux en signe de politesse. Elles chevauchaient tellement vite qu'elles étaient à peine reconnaissables. Elles étaient pressées. Faisant une entrée fulgurante dans la cour du domaine royale, elles attirèrent le regard des gardes sur elles, qui s'avançaient afin de les accueillir.
— Laissez-moi vous aider dame Sylvania, dit le capitaine de la garde.
— Merci capitaine, dit-elle après être descendue de sa monture.
— Soldat.
— Oui mon capitaine.
— Allez avertir la reine, de leur présence et de lui annoncer que sa petite fille Ashélia est mal en point.
— Bien capitaine j'y vais de ce pas.
Agissant sous cet ordre, le soldat courut vers la demeure au plus vite qu'il ait pu, afin d'exécuter ce que le capitaine lui avait ordonné.
— Que s'est-il passé, dit le capitaine ?
— Des soldats en armure noire ayant l'emblème du dragon nous poursuivent depuis Saint-Poladeléa, répondit Dannah, Ashélia porte un objet qu'il convoite. Et cette personne qui est derrière tout ça est Shaitâne, et il a l'air d'agir sous les ordres de son père.
— Je suis un peu au courant de l'histoire.
— Ah oui ?
— Aurore et Félicia sont ici. Elles nous ont raconté leur mésaventure. Félicia a été sévèrement blessée lors de la confrontation contre Dorian, mais rassurez-vous ses jours ne sont pas en danger.
— Capitaine puis-je vous demander une faveur.
— Oui Sylvania, que veux-tu.
— Eh bien... Freïhr se trouve quelque part en Laloria, nous avions été contraints de nous séparer à cause de notre confrontation contre ces soldats qui nous traquent. Il s'est mis en danger pour nous sauver. Puis-je vous demander de me le retrouver ? J'espère que rien ne lui est arrivé.
— Capitaine, dit Dannah, laissait moi continuer à porter ma sœur à l'abri.
— Je vous en prie Dannah, dit le capitaine poliment, tenez, prenez votre sœur, dit-il avec délicatesse. Vous deux vous restez avec elles, et les autres suivez-moi nous avons une mission à accomplir. Je vais vous le retrouver votre Freïhr dame Sylvania.
— Merci Capitaine.
Le capitaine accompagné de ses soldats allèrent dans les écuries afin d'atteler leurs montures. Le Capitaine chevaucha en tête de colonne. Et traversant la propriété et la ville il croisa plusieurs officiers et de soldats.
— Soldats joignez-vous à moi, nous avons une mission à accomplir. Nous devons retrouver une personne de haute importance au nom de Freïhr. Augmenter la garde, dit-il en criant lorsqu'il sortit de la ville. Parez-vous à doubler de vigilance soldat, et de se préparer à la défense en cas de nécessité. Les soldats ne comprenaient rien, mais ils exécutèrent cet ordre quand même et faisaient passer le message.
— Capitaine Joachim, Capitaine Vanceslas et Capitaine Alexandre prenez vos unités et suivez-nous en détachement afin de sécuriser la zone, et les autres suivez-moi.
— Bien Capitaine Nathan.
— Soldats, suivez la première unité en détachement pour sécuriser la zone dirent les trois Capitaine en cœur.
En tout, il y a avait à peu près trois-cents soldats qui c'était joints a lui et près d'une centaine en défense. Sylvania l'avait longtemps observé lorsque le capitaine de la garde était parti. Elle était surprit de ce comportement si réactif et si dévouer.
— Ça va Dame Sylvania, dit l'un des deux gardes.
— Oui ça va, dit-elle la tête légèrement dans les nuages pensant à ce capitaine.
— Poursuivons notre chemin.
— Oui vous avez raison, dit-elle en reprenant la marche.
Entre deux, la reine avait appris la nouvelle. Sous l'effet de surprise, cela lui dit un choc. Son cœur s'était mis à s'accélérer. Son beau visage de monarque changea de ton, faisant ressortir l'angoisse et la tristesse. Elle défaisait ses chaussures à haut talon, et partit sur-le-champ afin d'aller la voir. Suivie par le garde, elle parcourut la demeure en courant, qui n'était pas facile dans sa tenue. Elle portait une longue robe dont dans l'empressement elle piétina dessus à plusieurs reprises, pouvant la faire trébucher, mais avant que cela arrive, elle avait fini par la maintenir relevée à pleine main pour ne pas subir cette conséquence. Se trouvant sur le seuil de sa demeure, elle avait ralenti le pas, et du haut de ces quelques marches qu'elle eut à descendre, elle aperçut Sylvania, Dannah, Hélène et Amélia qui marchaient auprès des deux gardes. Au fur et à mesure qu'elle avançait, ses yeux devenaient de plus en plus scintillants, puis de fines larmes finirent par être versées le long de ses joues. Ses sentiments avaient craqué du fait qu'elle vit de ses propres yeux sa petite fille inconsciente dans les bras de sa grande sœur. La reine s'arrêta devant Dannah et caressa la joue d'Ashélia.
— Venez. Suivez-moi, dit la reine maîtrisant son chagrin. Mais... où sont les gardes, dit-elle en remarquant le vide dans sa cour.
— Ils sont partis me chercher Freïhr, dit Sylvania.
— Freïhr était avec vous ?
— Oui grand-mère, dit Dannah, et sans son aide nous ne serions pas ici. Donc je pense qu'il mérite d'être aidé à son tour. Il s'est loyalement battu tout au long de notre voyage, et là dans la forêt de Laloria nous étions contraints de nous séparer pour créer une diversion.
— Oui tu as raison Dannah, vous aviez bien fait, dit-elle rassurer. J'étais juste surprise qu'il n'y ait plus de garde dans la cour.
— Oui je comprends, dit Dannah.
— Allez entrer, suivez-moi, nous allons mettre Ashélia dans une des chambres à l'étage, je vais m'occuper d'elle sur-le-champ, car j'ai bien peur que son état soit bien avancé.